Ne pas oublier également que :

l'usage de monnaie engendre la raréfaction artificielle des produits

(donc engendre de l'exclusion, de la misère).

Exemples :

• pourquoi n'y a-t-il pas dans nos villes et villages, des arbres fruitiers à la place des platanes et autres "arbres de décoration" ?
  Parce que l'abondance sereine et nuisible au système commercial.
  

• une production suffisante d'oeufs, engendre un écroulement des prix. Il faut donc moins produire pour que les biens soient rares (relativement rares) et gardent un "prix" rentable.

• Les quotas pour ne pas trop produire.

• Lorsque l'Europe a produit "trop" de beurre, (A la fin des années 1970../.. la Commission européenne s'était retrouvée obligée d'engloutir des fortunes dans le stockage ou l'aide à l'exportation de milliers de tonnes de beurre et de poudre de lait.) on a maintenu la "manque artificiel" en achetant et en stockant ce beurre pour le retirer du marché.

• Et chaque fois qu'il y a "trop"* (c'est à dire suffisamment pour tous*) de produits alimentaires, les prix s'écroulent. (Fruits, légumes, etc) et on est obligé de recréer un "manque artificiel" (exemple encore) pour que les prix/la production soit de nouveau "rentable".

Et lorsque "la production est retirée pour maintenir les prix qui excluent", que fait-on de ces surplux ? On innonde le marché des voisins et cela crée de la misère (les locaux perdent leur salaire faute de pouvoir vendre leur propre production).
La misère est "reportée" chez les voisins plus ou moins éloignés.

La misère par la monnaie,

c'est aussi devoir ré-acheter un bien qui n'a pas été fait pour durer.

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