Entre "flicage de la moindre activité publique" et
- La pression sociale -
Historiquement, ce n'est pas pour rien que les grandes villes étaient plus pratiques pour "vivre en paix" : noyé dans le nombre, l'individu se sent plus libre, éloigné du regard précis des autres. A l'échelle du village ou de la communauté où tout le monde se connaît, le "qu'en dira-t-on ?" est puissant, jusqu'à étouffer. Mais entre le "tout le monde s'en fout de ce que vous pouvez faire" et le "tout le monde vous surveille et amplifiera votre moindre erreur", il y surement un équilibre à trouver.
Il n'y a donc pas de "recette facile" pour à la fois que le regard des autres nous aide à respecter certaines limites, et pour à la fois que ces limites ne nous empêchent pas de vivre. Tout est question de psychologie (comprendre où est la survie de chacun), et de philosophie (détermination des valeurs dominantes), ceci pour vivre sereinement en société.
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