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Le
20/12/2024
La
société actuelle pense déjà que nous sommes dans une impasse. Que ce
soit avec la représentation nationale (assemblée nationale) ou que ce
soit économiquement (surendettement, peur du déclassement, etc.),
ou encore écologiquement (COP totalement inefficaces, procès
des polleurs qui ne mènent à rien).
Pour faire passer l'idée d'impasses, il n'y a pas de difficulté.
C'est dans l'air du temps.
Le
problème est de devoir décrire que l'impasse est plus profonde que la
seule étiquette politique ou de la question des "répartitions
d'argent".
Nous avons les arguments qui démontrent que l'impasse est dû à
l'usage de monnaie : croissance obligatoire mais mortifère du PIB, rareté
relative de la monnaie qui transforme chaque humain en ennemi commercial,
vitesse de rotation monétaire qui pousse au gaspillage.
Prendre conscience de ces trois impasses nécessite du temps et de l'énergie.
C'est notre premier frein qu'il faut arriver à passer.
Le deuxième frein est la peur de prendre conscience qu'on va droit dans
le mur. Parce que la première réaction est de déprimer.
Heureusement, on propose une solution possible : l'économie post-monétaire.
Mais cette dernière pousse à remettre à plat toute la société humaine,
de la notion de travail, jusqu'au système politique, à la vie de tous
les jours. Et là, c'est encore plus compliqué et nécessite encore plus
d'énergie et de temps, deux paramètres qui n'existent pas dans la société
monétaire où chacun a la tête dans le guidon et où "le temps
c'est de l'argent".
Il
est temps de faire un pas de côté.
Voulez-vous faire ce pas de côté ?
Marc
Chinal .
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